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SAVOIR GARDER UN BON MENTAL en toutes circonstances aide à surmonter les difficultés de l’existence. Dans la pratique de la course à pied et même du vélo ou de la natation ou des sports d’endurance d’une manière générale ce mental joue un rôle aussi important que le physique. L’aptitude à dominer la souffrance et à se surpasser le jour j est souvent la conséquence d’une préparation psychologique aussi méticuleuse que l’entraînement lui-même.

Celui qui se lance dan la course à pied doit d’abord rompre avec son confort, s’imposer de prime abord un exercice difficile dans des conditions climatiques hostiles. Il doit ensuite s’y tenir à raison de 3 a 4 séances par semaine minimum pour progresser alors que mille raisons l’incitent à rester dans son fauteuil.

Mais si vous vous lancez dans l’aventure soyez assuré que ce nouveau challenge en dehors de votre routine et de votre zone de confort, vous apportera le bonheur de vous sentir exister et vous donnera une meilleure confiance en vous avec plus de force pour affronter les tracas de la vie courante.

RESPECTEZ VOTRE RYTHME SANTE COURSE

L’idéal pour la santé et le confort de chacun est de pouvoir cibler une régularité de votre sport conforme avec votre santé interne votre sport et la société dans laquelle vous allez introduire ce coefficient.
Pas nécessaire de vous imposer des séances de fractionnés ou des séances éprouvantes pour votre santé c’est le sport et la course qui va en pâtir et vous allez très vite abandonner.
Pour être heureux, il faut avoir des objectifs à long terme que l’on peut atteindre à petit pas. Nous avons trop tendance a surestimer ce que nous pouvons accomplir. Respecter cette régularité dans la pratique tout comme ne pas s’obstiner à suivre à tout prix un ami mieux entraîné car les niveaux de pratique ne sont pas les mêmes chez chaque individu.

PATIENCE ET VOLONTE

Activité naturelle et individuelle s’il en est la course à pied comme le vélo sont des disciplines qui vous amèneront un label santé sport et qui vous permettront avec de la patience et de la ténacité à combattre l’écœurement significatif de chaque coureur qui essaie de débuter dans la course.
La première chose à faire est de définir ses motivations. Comme perdre son poids, mieux se sentir dans sa peau mieux intégrer le phénomène société, gagner telle ou telle challenge ou course contre vous et contre les aléas de la société.
Combien de coureurs débutent un plan d’entraînement sans objectif précis ni motivation clairement évoquée abandonnée leur entraînement au bout de quelques temps et se trouver une excuse toujours facile est confortable.

REBONDISSEZ SUR VOS ECHECS

La progression passe également par la tête. Personne ne peu se substituer à chacun d’entre nous chaque individu possède sa propre image santé physique ou morale son propre chemin de Motivation, il vous faut trouver ce plus qui vous fera progresser et nous transcender. En cas de difficulté ou échec dans une épreuve de résultats mitigés, cela sera de notre seule responsabilité, inutile donc de chercher des excuses ailleurs.

C’est de cette lucidité que naîtra la victoire sur soi, en général la peur est la plus puissante des motivations négatives. La motivation par la peur génère des mauvaises performances. Cette contrainte de réussite par la peur d’échouer, fais ressurgir des anciennes douleurs, des anciens échecs, nous ne devons pas redouter les échecs car ils nous apprennent beaucoup…c’est souvent l’échec qui nous fait progresser en provoquant une remise en question de nos habitudes et de notre fonctionnement. Celui qui ne subit jamais d’échecs n’évolue pas et ne peut pas être heureux, car il ne dépasse jamais les limites qu’il s’est fixé.

En acceptant ses faiblesses on se découvre des forces pour les surmonter.

MOTIVER VOUS PAR LE DESIR ET LE PLAISIR

Motivez-vous par l’encouragement qui récompensera votre réussite, “ si je réussis tel ou tel chrono je ferai ceci ou cela si je cours trois fois par semaine je m’offre un voyage avec mon épouse pour participer au 20 km de paris etc… ” toutes les motivations positives tout en ayant comme objectif l’amélioration de la santé et du coefficient sport.
Le patron de notre corps c’est chacun d’entre nous c’est à nous de nous motiver car nous sommes le seul chef d’orchestre de notre corps et donc de notre santé et au-delà du sport que nous pratiquons pour y intégrer le coefficient société et non être imposé par la société.